Les pieds sur terre, les yeux vers le ciel,
Les mains levés, je prie l'éternel,
Une merveille, oui ma mère,
Promis tu auras ta maison au bord de la mer,
Juste un instant j'aimerais prendre,
Le temps de pouvoir revivre dans son ventre,
Ecoutez son coeur se grand orchestre,
Toi le plus grand des rois, oui toi papa,
J'ai mis dans ce rap ce que je n'ai jamais su te dire,
Tu fais vibrer mon coeur de ton regard rêveur,
Je t'en prie donne moi ton don de vainqueur,
Avant qu'il ne soit l'heure,
Ce qui est dit est dit, ce qui est fait est fait,
J'ai trempé ma plume dans mes larmes pour écrire ce couplet,
Escusez moi parfois c'est vrai,
Je suis bête et bien trop fière,
Cette chanson est la votre,
Non jamais je vous laisserai,
Si les larmes viennent, écoutez,
car faut que vous compreniez,
Que moi je vous aime, et sa pour l'éternité,
A toi ma princesse,
Ton regard me freine, il me plonge et me stresse,
Dans un univers qui ressemble a ce rêve,
Ou je vois l'avenir avec toi sans problème,
Si douce et si belle,
Tu voit le genre de fille qui te rend trop benêt,
Au point de sourire a chaque mots qui sort d'elle,
Mais yeux sont tombé sur quelque chose de rare,
Regarde dans mes yeux et dis moi ce que tu voit,
La misère du monde je l'absorberai pour toi,
Je suis comme un ange posé sur un nuage,
Je surveille tes pas les yeux rivés sur toi,
Tu réussiras car moi je croit en toi,
Soit forte ne craque pas,
Mais avant que je parte, oui ma belle je veux que tu sache,
Que à toi oui je m'attache,
Escuse moi parfois c'est vrai,
Je suis bête et bien trop fière,
Cette chanson est la tienne,
Non jamais je te laisserai,
Si les larmes viennent, écoute,
Car faut que tu comprenne,
Que moi je t'aime j'ai pas fait exprès,
Ton charme à tiré sa flèche,
Brisant cette amas de pierre,
Désolé si c'est long,
Mais c'est loin d'être terminer,
Quand je partirai, dites à ma famille que je les aimes,
Que le jour où je partirai, ne venez pas pleurer sur ma tombe,
Je vous est assez fait pleurer, chaque fois que la nuit tombe,
Dites à ma copine, que je resterai proche d'elle à jamais,
Et à mes vrai amis, que l'amitié s'étend a jamais,
Quand je partirai, dites à ma soeur que rien ne sert de pleurer,
Dites à mon frère, que son sourire remplacerons les courriers,
Désolés à mes profs, si je n'obtient pas mes diplômes,
Mais ce son va surement peser dix tonnes,
Quand je ne serait plus la, vous direz à tous mes frères qui mon déçu,
Que moi je n'ai pas une belle plume, juste un putain de vécu!
Les années passent et je vois les choses empirer,
Seigneur, ayez pitié le jour ou je partirai...
Tout ce que je veux c'est l'entendre être chanté!