La femme est un canon
Chargé d'effluves et d'odeurs
Que je respire à pleins poumons
Ses seins sont des obus
Ses hanches des amphores
Je les caresse et les pétris
Comme des fruits bien mûrs
Dans une coupe pleine à ras bord
Ses pleins, ses courbes et ses déliés
Remplissent mes mains
D'une rondeur
Qui n'est pas monotone
Et par delà ses monts et ses collines
J'aperçois, remplie de poils follets
Sa vallée d'abondance
Où coule mon léthé