Comme chaque matin et c’est comme ca depuis quelque temps
Dans ma tête, dans mon physique, quand le bus m’attend
Au levé du soleil le chemin se rédige
Tellement j’ai l’habitude donc somnolent mes pieds me dirigent
Mais ma tête elle elle fonctionne en pesant a ces vers
Alors que le soleil frappe aux yeux annoncent une journée agréablement sévère
Le bus m’attend et moi je m’y dirige vers
Un petit temps de patience et le chauffeur annonce le départ
Un bruit brutal du moteur arrière et le sommeil part
L’engin avale le trajet
Et le receveur se paie des passagers
Des jeunes des âgés, des pas assez âgés
Dans une sérénité inconnue comme si on a toujours voyager
Des ouvriers des ménagères
Calme tout le monde gère
Voila le moment tellement attendu
Ou frissonne les peaux où les poiles deviennent tendus
Voila cet arrêt, où tu apparais
La porte s’ouvre les marches s’inclinent
Devant ta beauté ton charme ton âme clean
J’aime cet arrêt, où tu apparais
Ou je sais que t’es ange et plus angélique que tu parais
Ils peuvent me prendre pour un taré
Mais …c’est comme ca j’aime cet arrêt
C est vrais que quand tu monte, rien ne change, mais tu sais rien n’est le même
Quand je te contemple et comme un con je me dis que peut être dans une autre vie elle m’aime
Mais oui j’ai compris que tu fais sourire les gens avec ton regard plein chagrin
Et des lèvres capables de faire pousser des grains
Dans le bus t’es le seul parapluie dans un temps pluvieux
Dans le bus t’es la seul âme que j’aimerai connaitre dans un temps plus vieux
Et voila le moment jamais bien attendu
Où dégoute le cœur où les poiles deviennent tendus
Le voila cet arrêt, quand je disparais