Ami de la nuit va te cacher ébloui par la lumière,
Ce soir on ira danser, près de la rivière autour des vieilles pierres.
Ami de la nuit, regarde-moi la laideur ne m’fait pas peur, ha ha.
Ta force extraordinaire électrisée par une beauté intérieure.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
En avançant tout doucement loin de leurs tirelires.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Éclaboussant le clair de lune à grands éclats de rire.
Ami de la nuit, tes yeux lumineux n’ont pas d’effet sur moi, ha ha
Allez donne-moi la main, petit lutin, jeteur de sorts…
Les Korrigans ont envahi la nuit,
En avançant tout doucement loin de leurs tirelires.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Éclaboussant le clair de lune à grands éclats de rire.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Invitant le souffle du vent dans leur longue chevelure.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Mais qui a dit dans les récits, qu’ils n’avaient pas d’allure.
Ami de la nuit, ne t’en va pas car déjà le jour se lève,
Et déjà je me réveille, malheureusement tout cela n’était qu’un rêve.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
En avançant tout doucement loin de leurs tirelires.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Éclaboussant le clair de lune à grands éclats de rire.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Invitant le souffle du vent dans leur longue chevelure.
Les Korrigans ont envahi la nuit,
Mais qui a dit dans les récits, qu’ils n’avaient pas d’allure.