NOTRE MONDE
Nouvel attenta dans les journaux
Causé apparemment par des musulmans dans les ghettos
Toujours le même titre, toujours la même phrase
Qu'on affiche partout, qu'on met en 1er page
Elle est bien pratique car elle fait peur
Elle cache la misère, la douleur et les pleurs
Elle cache surtout la réalité, nous laissant dans l'obscurité
a qui profite ces crimes, ces morts et ces sacrifiés ?
Je veux pas promettre le paradis, juste la vérité
Quitter ce monde des songe, bercé par les mensonges
Que mettent en place les bourgeois
Grand vainqueur de la Révolution
On a remplacé les rois
Par des PDG de grandes stations
Qui allume leurs cigares avec des dollars
Quand le peuple crie famine devant leurs mine
Alors ils font de beau discours, nous font la cours
Nous parle d'augmentation d'emplois et de salaires
Alors qu'on chercher juste la liberté et la lumière
Pendant que des gosses crèvent de faim
Que des garçons deviennent militaire et des filles putes avant d'avoir ouvert un dictionnaire
Certains veulent faire entendre leurs voix
mais elle est couverte par celle du pognions
des armes et de la corruptions
Le monde s'écroule et on ferme les yeux
trop peur de comprendre ce qu'il se passe
que l’univers par aux Enfers et non dans les étoiles
qu'on est un insecte pris dans une immense toiles
par une araignée aux milles pattes
Portant le nom de Google, Samsung et Apple
Se partageant le monde tel un tarte
Choisissant les plus grosses parts, laissant les miettes au pape
Maintenant la religion est devenue sciences
Qui veut tout changer avec ses savants
Ils modifient nos gènes et nos sens
Porte petit a petit le nom de Satan
Quand s’arrêtera tous ces progrès ?
A moins que ce ne soit un désastre
On s'éloigne lentement du naturel
On éteins doucement les astres
Fini les rêves, place à l'artificiel
On a déjà niquer notre planète
Alors on pense en faire une autre plus dure
Les scientifiques n'ont plus toute leurs têtes
On balance la Terre aux vides ordures
On veut crée la vie alors qu'elle est là
la nature a tout fait mais on se prend pour Dieu
on croit, on s'illusionne qu'on peut faire mieux
mais on sait très bien comment tout sa finira
On a voulue remplacé les Parques
Mais sans savoir tisser
On a briser la corde de notre arc
Avant qu'une seul flèche soit encoché
Alors je le dis en rap, même si j'aurai pus en poème
Car les poèmes s’appellent rap maintenant
de même que les rois présidents
Rien n'a changer a par les noms
Le mondes est toujours dirigé par des bouffons
Rien n'a changer a par les actes de bravoures
Se dresser seul devant des chars sous le ciel
a quoi ça sert si c'est pour rejoindre les livres d'histoire
Sans personne pour répondre a l'appel
Il y a eu des hommes bien mais vite noyé
Sous le poids des billets et de l'or plaqué
Leurs paroles, elles, sont restées
gravés dans les livres sans personnes pour les clamées
les défendre et les faire exister
Au final on les oublie , comme on oublie nos erreurs
Car pour les dirigeants la liberté est une erreur
Quelque chose au loin qui attend son heure
Mais qu 'on repousse car on en a peur
Peur de quitté le doux mondes des songes
Pour la dure réalité, la fin des mensonges
Peur du changement, de prendre des décisions
Alors on reste les bras ballant tels des cons
En regardant cette Terre s’effondrer
Rejoindre la nuit, l'horreur d'Hadès
On prie des dieux et des déesses
Alors que c'est a nous de se bouger
Si Dieu a exister sa fait longtemps qu'il a quitté le navire
Dés qu 'il a vue le bateau sombrer et que sa devenait pire
Il a prit ces cliques et ces claques
En te laissant dealer du cracks
Dans les rues les fous appellent a l'apocalypse
Il dise qu'elle est bientôt la, qu'elle approche
Mais elle est déjà sous votre porche
Clair comme des cristaux de gypses
Il s'agit de toi, de moi, de touts les humains
la surpopulation, y'aura jamais assez de pain
Les faibles, les pauvres crèverons de faim
Pendant que les riches dégusteront des arlequins
Les gens pour un peu d'eau deviendrons des assassins
Et quand sonnera le glas ils se boufferont les mains
Le Soleil brûlera des cadavres déjà desséchés
Au milieu des ruines de ces anciennes grandes citée
Ancien lieu de vie, d'amour et de bonheur
Devenue des lieux de mort, de haine et de malheurs
Ou partout l'air est empreint de souffrance
Ou les vielles pierres respirent encore la rance
la rancune, le racisme et les radiation
Hiroshima, Tchernobyl et peut-être d'autre encore
Qu'on a cacher au reste de la population
Pour garder sa place, sa tête sur son corps
Mais qui invisible, fourbe, augmentes les malformations
On atteins l'apothéose de la déchéance
En tuant nos frères sur l'autel de la finances
Aller elle est belle la vie en France
Devant sa télé, baignant dans son ignorance
mais je pousse un appel a la vigilance
Car quand sonnerons les trompettes de la vengeance
Qui perceront ton âme tels des lances
Il n'y aura aucune tolérance
Aucune tolérance pour les spectateurs
Aucune tolérances pour les gouverneurs
Aucune tolérances pour ces saigneurs
Aucune tolérance pour tous ces tueurs !
Alors réveille toi, devient un libre penseur
pose sut tes oreilles endormies ces écouteur
Lève toi et crie en cœur
Ce mot qui chasseront tes douleurs
LIBERTÉ ET LA FIN DE CE MONDE !!