Toi tu te fous des traders New-yorkay.
Toi tu t’en fous d’leur costume, leur aspect.
Toi tu te fous de ces politiciens
Toi tu t’en fou d’un system trop commun
Toi ta vie, ton destin
Tu l’as tracé sur une route qui se profile sans fin
T’as pris ton sac, ta moto, t’as tout quitté un matin
T’es un rebelle,
Toi c’est la route qui trace ton chemin
Ton chemin, ton destin
Quand la nuit tombe sur la route désertée
Tu poses ta bécane, sur le bas coté
Tu r’gardes l’horizon, comme un habitué
Ni rien, ni personne, ne peut t’arrêter
Ta destinée, partir au hasard,
Ta direction, partir nulle part
Comme un chemin qu’on trace sans fin
Comme un destin qu’on s’invente un matin
Tu accélères vers ton destin, ton destin
Ton destin, Ton chemin, ton chemin, Ton chemin
Toi c’est la route qui fait ton chemin
Toi c’est la route qui fait ton destin
Quand t’as jeté les clés pour tout quitter un matin
Quand tu t’étais promis de n’plus penser à rien
Et q’t’avais mis les gaz pour fuir les lendemains
En traçant Devant toi ce rêve américain
Toi c’est la route
Même si cette route, te fait ton chemin
Même si cette route, te fait ton destin
Si t’en es sur, si t’en es certain
Comme l’héritage d’un peuple souverain
Que tu croiseras d’un signe de la main
Qui n’ont de toi qu’une chose en commun
Une route au loin, qui fait un chemin
Une route au loin, qui fait un destin
C’est peut être elle qui fera ta fin
C’est peut être elle qui sera ta fin
Alors tu fuis ce moment prochain
Qui d’un royaume, ferait un déclin
Si tu venais à manquer de frein,
Dans ce trafic urbain, cosmopolite et inhumain
Parce que la route faisait ton destin
(Guitare)
Toi c’est la route qui trace ton chemin
Texte de Pascal Ladhalle.
Protégé et déclaré comme propriété de l’auteur.