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Dans ma cité calme et tranquille, Dans ma ville sans activité, Le parc urbain est immobile, Les gens ont peur de s’affirmer,
Il es l'heure maintenant, De partir voir l'autre côté, Ce morceau d'obscurité, Qui me fait peur et vibrer, Les adieux sont terminés,
L’échine courbée devant l’autel, Le pénitent s’adresse à dieu Les yeux rivés sur les dentelles De ce prophète miséricordieux
En sautant Je veux laisser une trace indélébile, M’en aller sur un par terre de larme,
Les gens qui s’habituent, Passent devant leur glace, De leur allure dégeulasse, Ils n’en voient pas les signes.
Je n’aime pas la vie, SI elle condamne un corps, Je n’aime pas la pluie,
Viens petite trouble fête, Assommer mes matinées Je ne ferai pas la tête
Entassés à la gare de Chagny, Et sur les coups de 18h00 La foule attend avec dépit Ce train qui vient jamais à l’heure
Petite prépubère, La chevelure en arrière Dans ses habits de lumière
Notre vie est monotone, Et le temps nous parâit lent, Quand revient l’Automne,
Auteur,idéaliste, phobique, hypersensible et sarcastique. Amoureux de la vie, des gens, des paradoxes ...Me contacter