J’avais pourtant bien dis haut et fort que jamais je n’aurais d’autre élan de cœur, me défendant
Si un jour se pointait à nouveau l’amour
J’avais pourtant juré que jamais on ne m’y reprendrait qu’à la vue des tourments je fuirais prestement
Si une nuit se pointait à nouveau l’amour
J’avais tout bien revu les contes pour enfants
Ceux qui parlent des beaux princes charmants
J’étais sure d’avoir enfermés le carrosse et la fée
Bien au fond d’une citrouille orangée.
J’avais pour plus de sureté épinglé sur mon cœur
« ne pas déranger » en lettres d’or de couleur
J’avais aussi bien planqué, je l’avoue mes dessous
Pardessus des tenues sans atout
Mais c’était sans compter sur toi, l’homme que je n’attendais pas
REFRAIN
Ta voix, ton rire, tes pas
Pas à pas qui s’approchent de moi
Ton sourire, ton regard, ton langage
Mot à mot qui s’approchent de moi
Ton corps, ton aura, tes mains,
Peaux à peaux, qui s’approchent de moi
Ta douceur, ta lenteur, ta saveur
Dos à dos qui s’approchent de moi
Ton odeur, ton mystère, tes égards
Vis-à -vis de moi, toi l’homme que je n’attendais pas
Alors j’ai tout démenti, parjuré mes « j’avais dis »
Envoyé à l’azur mes serments,
Désavoué ce que « j’avais dis »
J’ai revu ma copie, soudoyé les enfers,
Renoncé à ce que « j’avais dis »
J’ai délié fervemment le charme élusif de ce que « j’avais dis »
Pour toi, l’homme que je n’attendais pas
REFRAIN
Ta voix, ton rire, tes pas
Pas à pas qui s’approchent de moi
Ton sourire, ton regard, ton langage
Mot à mot qui s’approchent de moi
Ton corps, ton aura, tes mains,
Peaux à peaux, qui s’approchent de moi
Ta douceur, ta lenteur, ta saveur
Dos à dos qui s’approchent de moi
Ton odeur, ton mystère, tes égards
Vis-à -vis de moi, toi l’homme que je n’attendais pas