Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
[À croire qu’on est tombé sur un os], rien à voir avec les délires de sales gosses
Oublie la dolce vita, la vida loca, sur ces mots de peura, c’est pas les sons de Rocca, c’est bien plus que ça : c’est subtil, c’est suprême, à l’ancienne comme on les aime, car on exige toujours la crème de la crème, ça fait partie d’la loi des dilemmes
J’suis comme dans un film de cap et d’épée. J’maintiens le cap, manie l’acier, sans concession, sans besoin de session, fier de représenter mon bastion, et c’est pour tout cela qu’ je pose une bastos.
[Improz, improz !]. Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. Et toi, tu viises quoi ? [Improz, improz !] Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. C’est la devise quoi.
[C’est l’élite squad], on ouvre une brèche en panne sèche, on garde la pêche, on vend la mèche, peu importe les représailles, le retour de bâton, c’est pour les frères du bastion. Mais c’est trop beau pour être vrai. Au calme, au frais, on t’explique que rien ne sert de garder la foi alors que [parfois], c’est la seule chose à laquelle on se raccroche, c’est la clique qui l’indique [donc on abdique]. [Arrêtons de croire au bonheur plein les poches et conjurons le sort contre ces esprits maléfiques/toutes ces paroles sataniques]. Que les sceptiques, [ouai], aient le cran de redorer leur blason au risque de retourner le veston. Filston, la vie défile et le défi reste fragile, tel qu’à chaque instant on voudrait tous apparaître à l’écran, à la lumière des projecteurs bien devant. [Nan, nan]. Est-ce bien dommage, c’est un hommage, aux hommes âgés, aux jeunes de cité, partis trop tôt pour des affaires mal tournées qui les ont fait déraper sur des plaques de verglas comme dans les romans noirs de Vargas où quand sonne le glas, il est trop tard pour faire machine à arrière, [on avance et basta !]. C’est pas d’main la veille qu’on découvrira le pot-au-rose.
[Improz, improz !]. Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. Et toi, tu viises quoi ? [Improz, improz !] Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. C’est la devise quoi.
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Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
[À croire qu’on est tombé sur un os], rien à voir avec les délires de sales gosses
Oublie la dolce vita, la vida loca, sur ces mots de peura, c’est pas les sons de Rocca, c’est bien plus que ça : c’est subtil, c’est suprême, à l’ancienne comme on les aime, car on exige toujours la crème de la crème, ça fait partie d’la loi des dilemmes.
J’suis comme dans un film de cap et d’épée. J’maintiens le cap, manie l’acier, sans concession, sans besoin de session, fier de représenter mon bastion, et c’est pour tout cela qu’ je pose une bastos.
[Improz, improz !]. Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. Et toi, tu viises quoi ? [Improz, improz !] Ça s’improvise pas. [Improz, improz !]. C’est la devise quoi.
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Hey mec, tu glisses ou quoi ?
Ça en impose quoi.
Refrain
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