Il y a des heures que souvent l’on partage
Des moments de tristesse des instants de bonheur
Il y a des épreuves qu’on traverse à tout âge
Seul ou à plusieurs pour ne pas avoir peur
Les histoires d’amour sur les bancs de l’école
Les larmes versées qu’on veut dissimuler
Les chagrins consolés au creux d’une épaule
Les rêves lointains que l’on a oubliés
Tous ces souvenirs qui habitent nos êtres
Lentement se perdent au fond de nos mémoires
J’aimerais tellement entrouvrir la fenêtre
Pour apercevoir le chemin de l’histoire
Le vent qui passait au dessous de la porte
Le chocolat brûlant versé chaque matin
Les cailloux du chemin sous les pas de nos bottes
Les frères et les sœurs se tenant par la main
Le premier baiser maladroit malhabile
Que l’on a donné à l’abri des regards
Ce visage aimé reconnu entre mille
Qu’on voudrait retrouver même s’il est trop tard
Tous ces souvenirs qui habitent nos êtres
Lentement se perdent au fond de nos mémoires
J’aimerais tellement entrouvrir la fenêtre
Pour apercevoir le chemin de l’histoire
Tous ces souvenirs qui habitent nos êtres
Lentement se perdent au fond de nos mémoires
Quelques mots retrouvés sur une vieille lettre
Pourront nous aider à raconter l’histoire