Je n'ai pas choisi ma différence,
sur le menu des exigences,
qu'impose le bien être,
voulu par les autres.
Expulsé dès la naissance
comme cette chose étrange,
qu'on se refuse de reconnaître,
ne faisant pas partie des nôtres.
Mais on naît comme on est,
Ni meilleur, ni beau, ni laid,
de vie, de chair et de sang,
de larme et d'intelligence.
La laideur est ailleurs,
Les jaloux, les menteurs,
Les envieux bonimenteurs,
Les avars et Voleurs,
Les intolerants égoistes
ou les monstres narcissiques.
On sait ce que l'on est,
Dans le regard des autres.
On sait ce que l'on veut,
Ce que l'on a par défaut.
Je prone l'indifférence,
bien que né en disgrâce,
Depuis, de l'autre malveillant,
J'en attend le coup de grâce.
Mais on naît comme on est,
Ni meilleur, ni beau, ni laid,
de vie, de chair et de sang,
de larme et d'intelligence.
La laideur est ailleurs,
Les jaloux, les menteurs,
Les envieux bonimenteurs,
Les avars et Voleurs,
Les intolerants égoistes
ou les monstres narcissiques.
Inutile de voir,
Pour être clairvoyant.
Inutile d'être beau,
Pour être intelligent.
Inutile d'être riche,
Pour être bon.
Inutile de plaire,
Pour être aimé.
Pascal.b
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