Souffle tes bougies ma belle, avant qu’elles s’éteignent
Souffle à l’innocence, tes rires d’enfant
Raconte-moi des histoires de Peter, ou bien de paon
Des histoires sans fin, mais bien d’enfant
Raconte-moi ton royaume,
Avec ces déesses et ces dragons
Argile encore dans tes mains,
Mais châteaux bien vrai dans tes rêves
Prend toutes tes batailles en couleur
Jette ces sacs de billes aux multiples tulipes
Ne deviens pas tutelle
Reste-la même, saine et réelle
Ma fille, la vie est bien belle, c’est vrai !
Belle, de t’avoir fait naitre !
Ma fille, tu vas bien grandir, au détriment des nantis
Tu resteras sincère,
Ma fille qu’allons-nous nous dire,
Quand arrivera le jour J, ou tu lui diras oui
Combien de mur, de personne, de guerre
Franchiras-tu, pour affranchir tes quêtes
Qu’importe ces infidèles, je resterais ton père
De tiers ou par 3, nous resterons fidèles
Petite fée en détresse, tu quitteras tes ailles
Sur tes jambes bien tendu, les yeux bien ouvert
Tu marcheras sans elle, tu s’auras t’y faire
D’ailleurs qui marche avec des ailes ?
Ma fille, la vie est bien belle, c’est vrai !
Belle, de t’avoir fait naitre !
Ma fille, tu vas bien grandir, au détriment des nantis
Tu resteras sincère,
Ma fille qu’allons-nous nous dire,
Quand arrivera le jour J, ou tu lui diras oui
Les années, les jours, les heures, en voilà bien du temps passé
Monsieur le curée ne serait ’il pas pressé,
Sur ces bords pavés je te vois arrivée
Ma fille voilà le jour J, ou tu lui dira oui