Celle que j’aime
Celle que j’aime
Porte dans son regard
Des rivages lointains
Et ce n’est pas le hasard
Celle que j’aime
Porte dans son regard
Des rivages lointains
Et ce n’est pas le hasard
A quoi rêve mon enfant
Quand les heures convenables
Appellent le marchand de sable
Et son sommeil enveloppant
Quand tu viendras me tirer par l’oreille,
Lors d’une nuit sans sommeil,
Agît, alors en parfaite maîtresse.
Sur ton sein étouffe mon cœur exacerbé
Comme femme prodiguant mille caresses
Tu as étê le premier à me tendre la main.
Ainsi qu'Ã me dire je t'aime.
On a trop souvent mélangé amour et amitié.
On trop de fois mélangé la haine et la rage
Tant de fois on ai sortit ensemble
Comme si c'était une fable je comence par
«Il était une fois»
Mais cette fois~ci il n'y aura pas de moral.
Comme un début sans fin ou un départ sans arrivée...