Personne ne peut !
Cela fait six ans
Qu'on se connaît maintenant
Les rires et les larmes
Et même sans armes
Serré dans le doux étau….
Serré dans le doux étau de tes lèvres,
Je m’abandonne. Je sens une grande fièvre
Monter en moi, jusqu’à m’électriser.
Tendu comme un arc, j’attends, inapaisé.
Quand tu viendras….
Quand tu viendras me tirer par l’oreille,
Lors d’une nuit sans sommeil,
Agît, alors en parfaite maîtresse.
Sur ton sein étouffe mon cœur exacerbé
Comme femme prodiguant mille caresses
Errance
Tu es une perle
Mon lit, ton écrin
Vers toi, je nage
Je divague,
Je te rejoins
Effeuillage…
Lorsque mes lèvres douces et gourmandes
Viennent butiner votre belle amande,
Chatouiller le tendre, le doux capuchon
De vos ourlets ravissants, bien polissons,
Je mettrai bien plus d’entrain et de malice
Je pensais pas
Au début je me disais que nous deux c'était stupide
Mais au fur à fur, que les jours passent
Je me pose la question
Dans tout les sens je sais plus.
Où j'en suis avec toi.
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