Jours de vent
Cœur sensible d’un être sublime
Mon âme va trop longtemps enchaînée
Mon âme demeure toujours affamée
A la table de ce monde infirme
Cœur sensible d’un être sublime
Mon âme va trop longtemps enchaînée
Mon âme demeure toujours affamée
A la table de ce monde infirme
Les jours se suivent et se ressemblent
Et nous n'serons jamais ensemble
Le temps s'efface et ne laisse place
Qu'Ã la souffrance qui me glace
La nuit je pars, là ou subsiste encore son écho
Ils m’ont tellement cru mort que je dois l’être un peu
Mais lorsque la révolte cesse de gronder et que meurent les mots
Lobotomisé par sa bouche je vais toujours en son feu
Dans ce tourbillon aux volutes de poison
Les larmes du soleil
Devant tant de bonheur, tant de grandeur, immensément belle, elle rugit comme un fauve et vient
mourir à mes pieds comme pour me faire revivre.
Je suis là dit-elle, n’aie pas peur de la vie comme tu n’as pas peur de la mort, laisse moi
Drogue & Musique - Akah Leroy
Eté 85, un enfant est né
(j'plante le décor)
Bonheur des yeux, être désiré