Un petit amour ordinaire
Mon coeur, mais ce n’est qu’un début,
Seulement des préliminaires.
Tempère ton imaginaire !
Toi, si souvent meurtri, fourbu,
Jeté sanglant aux urubus
Mon coeur, mais ce n’est qu’un début,
Seulement des préliminaires.
Tempère ton imaginaire !
Toi, si souvent meurtri, fourbu,
Jeté sanglant aux urubus
Dans tes bras je me noie,
Dans ton regard mon amour avec toi je le voie.
J’avise la calculatrice,
Et parfaite simulatrice,
Qui a la ferme intention
De prendre le coeur de mon fils,
Le prince, en tête au box-office,
Alphonse Allais
S’en est allé
Nous laissant des
Vers faisandés.
Du violon,
Une femme, un regard, nos cœurs se sont touchés.
Uni à tous jamais, cousin qui aurais pus y pence.
Ce monde déboussole
Le Président de Zambésie
A ses tontons poignes de fer
Le Président de Zambésie