Un homme heureux
ll n'y a pas d'étoiles sans la nuit
Ni de larmes sans chagrin
Il n'y a pas de guerre sans ennemi
Ni d'amour sans lendemain
Les rêves ne suffisent pas
ll n'y a pas d'étoiles sans la nuit
Ni de larmes sans chagrin
Il n'y a pas de guerre sans ennemi
Ni d'amour sans lendemain
Les rêves ne suffisent pas
Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
De tel sorte, qu’on finira en sac d’os, bien liquéfiés dans des barils de Guigoz pour en
ressortir
Tu es plongé ans un profond chagrin
je l;entends
oui je j'entends jouer de ta guitare
la fenêtre ouverte, tu m'appelle
tu ne me vois pas
Alors que la fleur se délivre
Que l’éphémère voudrait survivre
je sens les larmes me poursuivrent
Souffrir de trop aimer