-1- (12 pieds)
Pendant qu’en réunion, des requins aux dents longues
Se disputent pour se partager le monde,
Des milliards de fourmis triment et espèrent,
Qu’un jour enfin, elles sortiront de leurs galères.
L’espoir fait vivre, fait vivre, jusqu’au jour où
Poussé à bout, on s’entretue, on devient fou.
Dans ce drôle de monde où tout fout le camp,
J’ai l’impression d’être le dernier des Mohicans.
-Refrain 1- (4 pieds)
Alors…..
Je m’exile
Sur mon île
Et j’oublie tout,
Ce monde fou,
Tous ces tourments
Et tous ces gens.
Tout sauf_ toi
Mon sang, ma joie
En exil_
Sur ton île.
-2- (12 pieds)
Ici, les requins espiègles aux longues dents
Nagent en ronde au milieu de l’océan.
Les fourmis se prélassent sur de vielles galères
Echouées depuis des lustres au bord de la mer.
J’ai retrouvé espoir, sur ce petit volcan :
Plus l’impression d’être le dernier des Mohicans.
Et je pense très fort à toi ma petite fleur
Toi qui es loin de moi, mais tout près dans mon cœur.
-Refrain 2- (4 pieds)
Car…..
J’suis en exil
Sur mon île
Et j’oublie tout,
Ce monde fou,
Tous ces tourments
Et tous ces gens.
Tout sauf_ toi
Mon sang, ma joie
En exil_
Sur ton île.
-3- (12 pieds)
Loin de moi là-bas, tout là-bas en Angleterre,
(ou « Loin de moi là-bas, là-bas sur ta grand ’terre »)
Tu apprends la vie pour éviter les galères,
Pour, plus tard, devenir ni fourmi, ni requin,
Mais quelqu’un de juste, loyal, bon et humain.
Avec l’espoir qu’un jour, ce monde soit meilleur,
Et que tu y vives dans la joie, le bonheur.
Mais n’oublie jamais qu’au milieu de l’océan,
Sur son île, t’aime et t’attend un vieux Mohican.
-Refrain 3- (4 pieds)
Car…..
J’suis en exil
Sur mon île
Et j’oublie tout,
Ce monde fou,
Tous ces tourments
Et tous ces gens.
Tout sauf_ toi
Mon sang, ma joie
En exil_
Sur ton île.