Les larmes du soleil
Les larmes du soleil
Devant tant de bonheur, tant de grandeur, immensément belle, elle rugit comme un fauve et vient
mourir à mes pieds comme pour me faire revivre.
Je suis là dit-elle, n’aie pas peur de la vie comme tu n’as pas peur de la mort, laisse moi
Vieillerie
J’oublie tout
Je me souviens de l’amour pour mes petits enfants
Ma vie en abrégé
RAS
Pas de métro aujourd’hui, les jambes gonflées, le moral à zéro...
Mon boulot ? Femme de ménage, pardon, technicienne de surface !
Pas une promotion, non, plutôt une hypocrisie, on appelle ça le langage politiquement correct,
comme on ne dit plus "nègre", ça fait raciste...
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