Sans le savoir,tu crois m'aider,
je broie du noir,à me châtier.
J'voyais qu'tes cils,atout subtil,
regard narquois,annonce d'exil.
Mais sous l'arcade,l’œil se balade,
Pense à surveiller la femelle qui sommeille en toi.
Car si tu n'y prends gare,elle volera ton âme.
Fais de l'amitié ,ta seule et unique foi,
même si c'est dur parfois.
A d'autres avant moi,tu avais fait du mal,
et tous ses maux t'ont été fatals.
Ronger dans ta chair,même si tu n'en as pas l'air,
tirer les ficelles,reste ton battement d'aile.
Comme une bouffée de fumée,
T'as connu les coups de tonnerre,
t'as servi de bouc émissaire,
t'as laissé s'installer le chaos,
t'as pas pu sortir tes crocs.
T'as pas voulu semer la haine,