Sur l'épure des beaux jours
se reflète mes chansons,
petites aventures
contes de fées en carton,
l'échelle des souvenirs
mène dans les perspectives
jusqu'aux combles du vent.
en haut de la maison
au ventre d' horizons
dans l'histoire des salons.
éloignant à jamais
tous ces pauvres vieillards.
jusqu'aux combles du vent.
en haut de la maison
ils enfourchent le destin,
qui sans cesse leur revient.
Sur le trait de la vie
tourne l'orfèvrerie
montres molles de l'oubli
qui chantent le matin
de l'enfant qui nous vient,
c'est la naissance du monde
au ventre d' horizons
dans l'histoire des salons.
au ventre d' horizons
dans l'histoire des salons.
éloignant à jamais
tous ces pauvres vieillards.
jusqu'aux combles du vent.
en haut de la maison
ils enfourchent le destin,
qui sans cesse leur revient.
Sur les touches de peintures
viennent les sentiments,
les cordes de l'amour
envahissent les amants,
les manèges des faubourgs
tournent dans les regards
éloignant à jamais
tous ces pauvres vieillards.
au ventre d' horizons
dans l'histoire des salons.
éloignant à jamais
tous ces pauvres vieillards.
jusqu'aux combles du vent.
en haut de la maison
ils enfourchent le destin,
qui sans cesse leur revient.
Sur le vernis des fêtes
s'envolent les amourettes,
dans les bras de l'espoir,
sous les pieds d'un ciel bleu
qui règne en amoureux,
les yeux collés aux rêves
ils enfourchent le destin,
qui sans cesse leur revient.
au ventre d' horizons
dans l'histoire des salons.
éloignant à jamais
tous ces pauvres vieillards.
jusqu'aux combles du vent.
en haut de la maison
ils enfourchent le destin,
qui sans cesse leur revient.