Une femme, un regard
Une femme, un regard,
Nos cœur se sont toucher.
Uni à tous jamais,
Une femme, un regard,
Nos cœur se sont toucher.
Uni à tous jamais,
Dans tes bras je me noie,
Dans ton regard mon amour avec toi je le voie.
Soleil de ma vie,
Mes jours grâce à toi s’élimine.
Perdu de vue, la vie nous à de nouveau réuni
Le soleil se couche, ses rayons rougisse le ciel,
Comme pour montrer sa timidité lorsque tes yeux se pose sur lui.
Doucement en te regardent il s’endors,
J’avais beau écrire « je t’aime »,
Elle prenait peu au sérieux
Ce que je disais en poëme.
Je trouvais cela injurieux.
Afin de briser l’anathème,