Paris avec toi
Sous l'autel à genoux
Des croyants me croient fou
Fou d'espérer que tu ne t'en foutes
De mes mots doux
Sous l'autel à genoux
Des croyants me croient fou
Fou d'espérer que tu ne t'en foutes
De mes mots doux
Est-ce un cadeau
Est-ce un poison
C’est vrai qu’il est beau
Et qu’il n’est pas con
Attendre les trois coups, faire le vide en moi-même
Le faux-nez ajusté, le teint presque livide
Le velours s’écartèle, ce soir c’est la millième
M’accrocher à un vers, me jeter dans le vide
Depuis que je t’ai vu, la lumière de mes yeux brille pour toi
Quand je regarde le ciel et le soleil, c’est ton visage que je vois
Je voudrais tant te revoir pour te prendre dans mes bras et t’embrasser
Mais si tu ne veux pas, ce n’est pas grave je continuerai à espérer
Ton nom résonne en moi comme une douce mélodie
(Peut-être que oui, sans doute que non)
Non peut-être, oui sans doute
Thérapie minute existentielle
Par amour inconditionnel ?
Je le sais j'ai moins d'amis que d'ennemi,
Moi c'est surtout de leurs erreurs que j'ai appris,
Je les ai regardé tomber,
Puis resté à terre,
Les vrais sur une main je peux les compté,