Injustice d'Amour
Hélas ! tu es partie si loin,
M’abandonnant à ses furies ;
Ô oui, tu t’es délivré enfin
De sa savoureuse tyrannie.
Hélas ! tu es partie si loin,
M’abandonnant à ses furies ;
Ô oui, tu t’es délivré enfin
De sa savoureuse tyrannie.
Tu sais moi aussi
Je pleure
Toi t’est petit
Mais moi je pleure
Parce que tu grandit
Six bons milliards de quidams
Faut que je fasse mes calculs
Avant de céder mon âme
Et de compter mes ridules
Vivement qu’il soit là !
Neuf mois et le voilà ,
Le bébé qui vient de naitre.
Tous ceux qui voulaient le connaitre,
J’ai la mélancolie d’un temps de mon enfance,
Les soirs de solitude, où, l’âme chiffonnée,
Je pleure les beaux jours lointains d’insouciance
Du temps de mes dix ans, d’avant de boutonner,
Mais où vont-ils
Ceux qui ne battent plus
Des cils
Mais où vont –ils
Après
Sur cette terre qui est à l’envers,
Dans mes rêves, je reçois ma reine vilaine,
Elle me dit, prends ce qu’il y a,
Je lui ai demandé qui elle était au juste,
Elle m’a dit,