Avant et pendant... la chute
Dans l’assourdissant silence de l’abîme, j’étais
Agonisant de vie à une branche suspendue
Le vide terrifiant qui sous moi m’aspirait
Me laissait innocent, inconscient, un vers nu.
Dans l’assourdissant silence de l’abîme, j’étais
Agonisant de vie à une branche suspendue
Le vide terrifiant qui sous moi m’aspirait
Me laissait innocent, inconscient, un vers nu.
Un jour qui naît est un espoir de plus
Mais pour certains, c’est un espoir qui meure
Le pas lourd de l’adulte régit sa peur
L’enfant le sait il va être battu.
Ce matin dur réveil,
l'aterrisage fait des siennnes,
ou es-tu,
dans ses bras,
tu ne penses même plus à moi,
Je pense sans cesse à toi
Où que je sois
Après Kévin qui à voler toute mon adolescence
Et toute mon innocence
Je ne pensais pas aimé autant
La lumière permet d'oublier la nuit
Mais elle ne peut chasser le mauvais temps,
J'ai les yeux remplis de pluie
Mais je continue de faire semblant,