Avant et pendant... la chute
Dans l’assourdissant silence de l’abîme, j’étais
Agonisant de vie à une branche suspendue
Le vide terrifiant qui sous moi m’aspirait
Me laissait innocent, inconscient, un vers nu.
A toi
Je pense sans cesse à toi
Où que je sois
Après Kévin qui à voler toute mon adolescence
Et toute mon innocence
Je ne pensais pas aimé autant
Ecriture mental
Dans la plus triste des vies
Se croisent les plus cauchemardeux sorts
Chance pourquoi a ma porte tu dévie
Ma tristesse est jugé dernier ressort
j’écris de ma sueur
Le bonheur n’est pas n’est pas dans la perfection mais de comment tu la tolères
Maintenant regarde moi bien et dis moi de quoi ai-je l’air
Regarde moi en microscope en lunettes 3D ou solaire
Même fond d’écran tu verras ma sueur et ma colère
Maintenant zoome sur ma perfection dis moi si je suis parfait
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