Je ne sais pas ce qui m'arrive
Dieu, comment est-ce possible
De brûler d’un amour si grand ?
C’est à peine compréhensible.
Il a dû se tromper de cible
Le beau Cupidon, c’est flagrant !
Dieu, comment est-ce possible
De brûler d’un amour si grand ?
C’est à peine compréhensible.
Il a dû se tromper de cible
Le beau Cupidon, c’est flagrant !
Dans les premiers vers
De ce futur poème,
J’explore l’univers,
Je cherche un nouveau thème.
Dans tes bras je me noie,
Dans ton regard mon amour avec toi je le voie.
Le soleil se couche, ses rayons rougisse le ciel,
Comme pour montrer sa timidité lorsque tes yeux se pose sur lui.
Doucement en te regardent il s’endors,
yés dans mes reves jais plus le rmi je skoater la securite social et les aloke familial j revise
mes couplé a 3 heure du matte jetais intrin de commater je matté le plafond les yeux fermé est
javalé des liptons yés le sky meut monter ma bulle javais plus de matripule jvoler avec du red
bull javais la ff jrouler a 200 sur la national yavais les shmit deriere negros ses normale javais
des iricle endiablé il pouvait pas en avaler yés javait toujours ma gros taspé elle me disait ou
Je voudrais tant que ce poème,
Le prochain et le troisième,
Aient l’effet d’un chant de grillon
Vous protégeant des tourbillons,
Qu’ils s’approchent de vos oreilles
Je veux écrire une chanson
Pleine d’amour et d’allégresse,
Dans ce monde qui nous agresse,
Une fraicheur, une caresse,
Comme un rire de nourrisson,
Une femme, un regard, nos cœurs se sont touchés.
Uni à tous jamais, cousin qui aurais pus y pence.