Le mimosa
C’était l’été mes dix-sept ans
Le poivrier, le mimosa
La mer et tous ses oiseaux blancs
Le sable était chaud sous mes pas
La vie en rose
La vie n’est pas un compte de fée malgré qu’on veuille y croire
Je garde mon poing levé pour trouver de l’espoir
Je n’aurais jamais pensé avoir tous ces défauts
Si seulement je le savais le monde serait trop beau
On ma connu tous petit j’avais rien dans la tête
Guerrière mélodieuse
De part ses choix et ses combats
Au son du souffle des tempêtes
Elle se bats
Contre vents et marées
Jamais elle ne s'arrête
La vieillesse
Parce que la vie
S’effrite peu à peu
Maintenant c’est le gris
Qui remplît les yeux
Quand la vieillesse
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