Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
De tel sorte, qu’on finira en sac d’os, bien liquéfiés dans des barils de Guigoz pour en
ressortir
Je sors les Kleenex
Car j’en pleure déjà, à n’en plus finir mes textes
Trop de cicatrices dans le cortex
Que j’efface à coups de Tipp-Ex
Le monde n’est pas en reste, pour le comprendre
Sur un air de peura... Rendons hommage...
Depuis l'début, on ne fait que sursauter les étapes
Supprimons l'image de nos compères qui nous frappent
On vit maladroitement, visiblement plus les mains dans les sacs
mais la tête au fond du néant