LA CHAUME AUX SOUVENIRS
Perdue au doux creux verdoyant
Un bien paisible petit village
Préserve le charme vivifiant
D'une époque aux mille fourrages,
Perdue au doux creux verdoyant
Un bien paisible petit village
Préserve le charme vivifiant
D'une époque aux mille fourrages,
Au delà du succès
Au delà des excès
S'incruste l'oisiveté
Qui façonne patiemment
Une mélodie naissante
Par ta main caressante
Pianote sur mon âme,
Telle une pluie orchestrée
Cent palpitations par minute
C’est par une fièvre de brute
Que je suis cloué, poil hirsute
Au fond du fond de ma cahute
Ya pas d espoir dans leurs histoires
pourtant je ne suis pas triste quand vient le soir,
Conscient que je mourrai seul,
Costard et cigare dans le linceul,
Au seuil de la folie,j ai fait le deuil de mes envies