mon frère
je t'ai trop souvent regardé pleurer
sans ne jamais penser
que tu pourrais nous quitter
mon frère
je t'ai trop souvent regardé pleurer
sans ne jamais penser
que tu pourrais nous quitter
mon frère
Six bons milliards de quidams
Faut que je fasse mes calculs
Avant de céder mon âme
Et de compter mes ridules
Tonio est sur le chemin,
Derrière lui, il y a sa maison,
Sa femme en pleure sur le perron,
Son père, fière de voir partir son fils pour la patrie,
Sa mère est restée prés de l’âtre, le visage dans son torchon,
Une femme, un regard, nos cœurs se sont touchés.
Uni à tous jamais, cousin qui aurais pus y pence.