L'Oeuf
Tu es la femme et je suis l'homme
Parfois toi l'homme et moi la femme
Tu as l'idée et moi j'ai l'âme
Tu es la femme et moi le môme.
Tu es la femme et je suis l'homme
Parfois toi l'homme et moi la femme
Tu as l'idée et moi j'ai l'âme
Tu es la femme et moi le môme.
Je ne vous voient plus
Je ne vous sens plus
Maman, toi qui m'a mise au monde
Petit frère, toi que je ne veux perdre pour rien au monde
Maman, toi qui m'a donné ton savoir vivre
Nous sommeillons dans le confort
D’une longue vie sans histoires,
Quand arrive, rédhibitoire ,
Une fin brusque pour la clore.
Nous ne sommes que de passage,
J’ai la mélancolie d’un temps de mon enfance,
Les soirs de solitude, où, l’âme chiffonnée,
Je pleure les beaux jours lointains d’insouciance
Du temps de mes dix ans, d’avant de boutonner,
Soleil de ma vie,
Mes jours grâce à toi s’élimine.
Perdu de vue, la vie nous à de nouveau réuni
J’avise la calculatrice,
Et parfaite simulatrice,
Qui a la ferme intention
De prendre le coeur de mon fils,
Le prince, en tête au box-office,