O mo amor ( à chanter sur l’air de la Fanette de Jacques Brel)
Nous étions deux garçons
Et Wilfried m’aimait
La ville était vide
Et dormait sous nos pieds
Elles sont des milliers, parfois même des enfants
Petites mains tremblantes dans des usines délabrées
Qui pour nous, tout le jour, cousent des vêtements