Ce texte aura pour thème, un mensonge populaire
La croix autour du cou, l’église et les prières
Les vieux puceaux en robe qui profitent de nos enfants
Et les cultes extrémistes qui nous rappellent le mauvais temps
J’t’écris cette chanson détestable, toi qui là-haut ne m’entend pas
Toi l’enfoiré le responsable, soi-disant seigneur ou bien roi
Depuis là-haut tu nous regardes, s’entretuer sans un remord
Les gens brandissent ton étendard sans se dire qu’ils ont sûrement tort.
Et ton Jésus roi des menteurs, donc l’exploit traverse les temps
La naïveté de tes fidèles pour un mensonge, un fourvoiement
Une croyance dans ce genre ça peut faire des millions de morts
La parole est d’argent, mais surtout le silence est d’or
Toi soi-disant, faiseur de paix, les gens te pris pour leurs pardons
Tu les poignardes dans le dos, le plus fort a toujours raison
Perso, je crache sur la croix, en t’écrivant cette satire
Quand on te prie toute la vie, tu la détruis pour ton plaisir
Ton fils et toi à mes yeux, vous n’êtes pas moins que des ombres
Des souvenirs des silhouettes disparaissant dans la pénombre
D’un monde qui, même sans vous, ne se porterait pas plus mal
Y a des gens qui crois en toi, j’leur en veux pas, c’est bien normal
Où étais tu pour l’accident, où quand il est tombé malade,
Tu contemplais en souriant, leur offrant leur ultime balade
Venge-toi sur les pédophiles ou bien sur les assassins
Quoique pour le premier profil, tu les nourris bien en ton sein
Allez mon gars sans rancune, on n’est pas là pour s’engueuler
J’te serre la main, et à bientôt, le jour du jugement dernier
Allez mon gars sans rancune, on n’est pas là pour s’engueuler
J’te serre la main, et à bientôt, le jour où tu viendras t’venger