Une fois de plus
Et je commence par toi mon homme
Tu m'as déçu une fois de plus
Mais je peux m'empecher
Tu m'es comme une drogue
Impossible à s'arretr quand on es accros
Et je commence par toi mon homme
Tu m'as déçu une fois de plus
Mais je peux m'empecher
Tu m'es comme une drogue
Impossible à s'arretr quand on es accros
Hélas ! tu es partie si loin,
M’abandonnant à ses furies ;
Ô oui, tu t’es délivré enfin
De sa savoureuse tyrannie.
On en sait peu, Ã dire vrai,
Et ce, depuis des millénaires,
De l’amour et de ses secrets,
Comment il nait ou dégénère.
J’ai la mélancolie d’un temps de mon enfance,
Les soirs de solitude, où, l’âme chiffonnée,
Je pleure les beaux jours lointains d’insouciance
Du temps de mes dix ans, d’avant de boutonner,