Si mon fils était un Prince ... (fiction)
J’avise la calculatrice,
Et parfaite simulatrice,
Qui a la ferme intention
De prendre le coeur de mon fils,
Le prince, en tête au box-office,
J’avise la calculatrice,
Et parfaite simulatrice,
Qui a la ferme intention
De prendre le coeur de mon fils,
Le prince, en tête au box-office,
Alphonse Allais
S’en est allé
Nous laissant des
Vers faisandés.
Du violon,
Refrain
J’ai vécu tant de nuits, croisé tant de visages,
Caressé tant de corps, que je me sens vieilli.
Je laisse mes chansons, comme des fleurs cueillies
Tout au long d’une vie. Faites-en bon usage !
Un vieil homme, bien toiletté,
A grimpé sur un toit, l’été.
Grand amateur d’Alphonse Allais,
Se sentant mal en fonds salés,
Diplomé, d’autre part, en thèse
On quitte son pays, sa contrée de misère,
Le Minas, le Sertaõn, un futur odieux,
Qui n’a jamais connu croira que j’exagère,
Parfois femme et enfants, des jeunes et des vieux,
Pour gagner, plein d’espoir, une terre étrangère.
D’abord, par le hublot, l’immense étendue verte,
A perte d’horizon, avant de nous poser,
Puis cette chaleur moite, la porte à peine ouverte,
Qui vous saute au visage, Ã vous indisposer.
C’était mon premier jour d’années de découvertes.
Le lupanar de Pompéi
Y a des bordels dans l’monde entier
Y en avait un à Pompéi
Mais l’Vésuve un jour a craché,