A l'aube d'un jour
A l’aube d’un jour
Doucement les ombres s’estompent, de squelettes les arbres revivent, se parent de chair verte .
Mon âme renait, angoisses des cauchemars doucement disparaissent, la vie prend le dessus.
A l’aube d’un jour
Doucement les ombres s’estompent, de squelettes les arbres revivent, se parent de chair verte .
Mon âme renait, angoisses des cauchemars doucement disparaissent, la vie prend le dessus.
Tonio est sur le chemin,
Derrière lui, il y a sa maison,
Sa femme en pleure sur le perron,
Son père, fière de voir partir son fils pour la patrie,
Sa mère est restée prés de l’âtre, le visage dans son torchon,
je saigne mon poitrine - ouvert
j'entrevois la vie propre
je lutte contre ma lutte
qui ne lutte pas rien
Il chante le vent qui agite les nuits
il chante le soleil qui sur les visages s'enivre et rit
il chante la pluie qui boit et noie les soucis
il chante même les rêves qui l'ont meurtri
C'est savoir donner, donner de soi
Savoir recevoir et donner les sourire et la joie
Savoir sécher les pleurs et effacer la douleur
Savoir consoler les peines de coeur
Savoir dire et savoir ce taire
Je suis contente de savoir
Que tu as réfléchit
Et que tu as compri.
Dans la tristesse il y a la joie...