Je t'ai donné
Je m'suis toujours mis en quatre
Pour mon meilleur ami
Même jouer les acrobates
Au péril de ma vie
Je t'ai donné mon épaule
Je m'suis toujours mis en quatre
Pour mon meilleur ami
Même jouer les acrobates
Au péril de ma vie
Je t'ai donné mon épaule
Je rêve d’un ailleurs
D’un endroit
Ou les fleurs
Ne fanent pas
Ou le soleil brille
Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
De tel sorte, qu’on finira en sac d’os, bien liquéfiés dans des barils de Guigoz pour en
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