Drogue dur
Je veux être ici, avec toi
Car tu a la bonne mentalité
tu veux la bonne chose, comme moi
On est bons pour la nuit
Impossible d'avoir une relation posé, on aime trop jouer
Merci France
Un matin de décembre, une lettre vient d’arriver
Laissant mon coeur en cendre, oui je pars à l’armée
Petit frisson ardent, me voilà sur l’départ
Pour régler l’incident, fait par les hommes en noirs
Les vieilles photos
Quand on ouvre nos vieux albums photos
On a des souvenirs plein la tête
Des douleurs, des sourires, des sanglots
Des visages que l'on regrette
Il y a aussi ces vieilles histoires
En nous
On a tous en nous
Une part de mystère
Des choses qu’on avoue
Et d’autres qu’on n'enterre
Des histoires que l’on cache
On se regarde
On se regarde comme ça
Les yeux dans les yeux
Qu’est-ce que t’as fait de moi
Tu me rends malheureux
Je croyais pourtant
Improz
Dès la première prose, je pose une bastos
Pour te faire comprendre que ça peut-être notre dernier sacerdoce
Et que l’Enfer s’impose, en guise de nuit d’noce
De tel sorte, qu’on finira en sac d’os, bien liquéfiés dans des barils de Guigoz pour en
ressortir
Traces
Traces de loups, tâches de lune,
Ils sont passés sur les sentiers,
Et ce matin, la mousse est brune
Du sang de l’inhumanité.
Le temps des au revoirs
C’était le temps des au revoirs
On agitait pas les mouchoirs
Tant ils étaient mouillés de larmes.
C’était le temps de ce jardin
Ou s’amusaient quelques gamins
Page : < PrŽcŽdent 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 Suivant >