Le prix à payer.
Je giserai là , à tes pieds.
Jusqu'à ce que mon sang s'arrête de couler,
Jusqu'Ã ce que je n'est plus la force pour continuer.
A me battre pour tes beaux yeux.
J'pense que c'est le mieux.
la banale
La nuit je pars, là ou subsiste encore son écho
Ils m’ont tellement cru mort que je dois l’être un peu
Mais lorsque la révolte cesse de gronder et que meurent les mots
Lobotomisé par sa bouche je vais toujours en son feu
Dans ce tourbillon aux volutes de poison
Mon amour
Un jour d'été alors que je travaillais
Un de mes collègues viens me voir
Et me dis je fête mon anniversaire
Tu veux venir ?
Je lui ai dit oui bien sûr
Tu m'es apparu
Je ne cesse de penser à toi
A nos souvenirs, nos coups gueulent
Nos délires et nos pleures...
Plus les jours passent
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